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pendant ce temps…
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Tu me penses vieille
ô mon enfant !
mais pourtant je veille
sur toi tout le temps.
Evidement tu ne t’en doutes
dans le plein âge de l’essor
tu vas conquérant sur ta route
mais tout âge a ses efforts.
Dans un monde de l’apparence
il n’est pas très reluisant
alors qu’on va vers l’abondance
d’avoir dans la gêne ses parents.
Alors, comme avoué un jour
mal à l’aise on détourne la tête
d’un être qui garde tout son amour
au petit être à qui elle a donné le jour.
Emma
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Bonjour Emma
Très beau poème, un peu amer cependant.
Les enfants, quoiqu’on en pense, aiment toujours leurs parents, même s’ils ne le montrent pas, et ils les aimeront toujours,
c’est viscéral.
Que ta journée soit agréable
Bon courage
Bises
Coline
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Dommage que tu trouves de l’amertume
où il n’y a que profonde tristesse, voire nostalgie…
Le lien parents-enfants est viscéral
mais l’amour, malheureusement, n’est pas toujours au rdv
il n’y a qu’à lire les médias…
Bonne journée à toi aussi
bises amicales
Dernière publication sur : du temps des cerises aux feuilles mortes
Superbe poème qui aborde avec subtilité des choses si délicates. Merci pour votre passage sur mon blog. Amitiés. Joëlle